Il existe une histoire selon laquelle, après l'abolition de l'esclavage dans les Antilles, les descendants de colons français ont continué d'exploiter les noirs de la Martinique et de la Guadeloupe pour s'enrichir en instituant de nouvelles formes de servitude.
Ces nouveaux colons sont en général des blancs créoles dont les ancêtres sont les "engagés" ou "trente-six mois". Les engagés sont des hommes blancs qui se vendaient en Europe pour être enmenés comme esclaves pour trente-six mois dans les colonies françaises dont Saint-Domingue, l'actuelle Haïti.
En fait, les Français qui veulent émigrer aux colonies, mais qui ne peuvent pas assurer les frais de leur voyage, doivent s’engager à servir ceux qui payent pour eux pendant 3 ans, dans les colonies françaises. On les appelle les "trente-six mois" ou "engagés".
Les békés sont donc les descendants des engagés c'est-à-dire des blancs créoles dont les ancêtres ont quitté la France pour s'installer aux Antilles, notamment après l'abolition de l'esclavage, dans le seul but d'échapper à la misère, aux dettes et aux poursuites judiciaires en métropole.
En Haïti, les békés, c'est-à-dire les blancs créoles, n'avaient aucune chance de s'installer pour continuer à exploiter les noirs après l'abolition de l'esclavage, parce que le pays a conquis son indépendance de l'empire colonialiste et exclavagiste français par les armes, et le père fondateur de la nouvelle nation, Jean-Jacques Dessalines, avait ordonné le massacre général des français y compris les blancs créoles.
En Haïti, les békés, c'est-à-dire les blancs créoles, n'avaient aucune chance de s'installer pour continuer à exploiter les noirs après l'abolition de l'esclavage, parce que le pays a conquis son indépendance de l'empire colonialiste et exclavagiste français par les armes, et le père fondateur de la nouvelle nation, Jean-Jacques Dessalines, avait ordonné le massacre général des français y compris les blancs créoles.
En revanche, Dessalines avait ignoré que les mulâtres, descendants directs de blancs et de négresses, allaient se comporter comme les békés de la Martinique et de la Guadeloupe, en s'appropriant sauvagement l'économie nationale, après l'avoir assassiné en octobre 1806.
Aujourd'hui, dans les Antilles, les békés font croire qu'ils sont les descendants d'aristocrates français tandis qu'ils sont descendants directs des trente-six mois ou engagés. Quelle imposture!
En effet, l'histoire révèle qu'au moment des invasions européennes, les conditions de l'existence et de survie dans les colonies étaient tellement sauvages et inhumaines, qu'elles ne pouvaient pas attirer des aristocrates.
Aujourd'hui, dans les Antilles, les békés font croire qu'ils sont les descendants d'aristocrates français tandis qu'ils sont descendants directs des trente-six mois ou engagés. Quelle imposture!
En effet, l'histoire révèle qu'au moment des invasions européennes, les conditions de l'existence et de survie dans les colonies étaient tellement sauvages et inhumaines, qu'elles ne pouvaient pas attirer des aristocrates.
Pour traverser l'Atlantique, les risques sont énormes: destruction éventuelle des bateaux par les tempêtes, propagation massive d'épidémies, pénurie de nourriture et absence totale de confort; les affrontements armés entre les Européens dans les colonies sont sources d'insécurité constante pour les habitants avec des risques de perdre leurs vies et leurs investissements dont leurs maisons, leurs terrains ou leurs plantations; les maladies provoquées par les piqûres des moustiques et les catastrophes naturelles tuent les blancs de manière considérable dans les colonies où ils n'ont pas de distractions ni de divertissements comme le théâtre, l'opéra ou des banquets, et où le quotidien est fait de durs travaux et de chaleur étouffante.
Des réalités qui ne sont pas faites pour des aristocrates habitués au luxe et au confort en métropole, comme ils le prétendent.
Cela dit, seuls les ratés et les échoués étaient prêts à effectuer de tels voyages pour tenter leur dernière chance dans la vie, car ils n'avaient rien à perdre. Les hommes sont généralement des criminels, des endettés, des mercenaires, et les femmes, des prostitués.
Cela dit, seuls les ratés et les échoués étaient prêts à effectuer de tels voyages pour tenter leur dernière chance dans la vie, car ils n'avaient rien à perdre. Les hommes sont généralement des criminels, des endettés, des mercenaires, et les femmes, des prostitués.
Ce n'est que plusieurs siècles plus tard, après que la Martinique et la Guadeloupe aient été modernisées et urbanisées que des membres de la bourgeoisie sont venus s'y installer. Ils y trouvent alors des divertissements comme le théâtre.
Cependant, les catastrophes naturelles et les violentes révoltes de captifs africains ou de résistants amérindiens faisaient fuir cette bourgeoisie de la Martinique ou de la Guadeloupe. Seuls ceux qui n'avaient rien à leur arrivée aux Antilles, c'est-à-dire les criminels ou les ruinés, prennent le risque de rester pour continuer à s'enrichir en exploitant les communautés noires.
Cependant, les catastrophes naturelles et les violentes révoltes de captifs africains ou de résistants amérindiens faisaient fuir cette bourgeoisie de la Martinique ou de la Guadeloupe. Seuls ceux qui n'avaient rien à leur arrivée aux Antilles, c'est-à-dire les criminels ou les ruinés, prennent le risque de rester pour continuer à s'enrichir en exploitant les communautés noires.
Les békés sont donc des imposteurs qui vivent dans un confort socio-économique tel, qu'ils sont incapables de comprendre les torts de l'esclavage et de la consanguinité.
L'histoire révèle également qu'Alain Huyghues-Despointes dont la fortune est estimée à plus de 150 millions d’euros, est le modèle parfait des békés; sa famille a été indemnisée à l’abolition de l’esclavage, ses sociétés reçoivent des subventions faramineuses de l'État français, et sa mainmise sur l'économie locale est la cause fondamentale de la misère des milliers de familles noires de la Martinique et de la Guadeloupe.
Pour études complémentaires, PROFILE AYITI vous recommande "la vérité sur les békés" et "les derniers maîtres de la Martinique".
L'histoire révèle également qu'Alain Huyghues-Despointes dont la fortune est estimée à plus de 150 millions d’euros, est le modèle parfait des békés; sa famille a été indemnisée à l’abolition de l’esclavage, ses sociétés reçoivent des subventions faramineuses de l'État français, et sa mainmise sur l'économie locale est la cause fondamentale de la misère des milliers de familles noires de la Martinique et de la Guadeloupe.
Pour études complémentaires, PROFILE AYITI vous recommande "la vérité sur les békés" et "les derniers maîtres de la Martinique".
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M. Charles Philippe BERNOVILLE
Président et directeur des recherches.